Vitrage à isolation renforcée (VIR)

Sur le secteur des baies vitrées, les vitrages à isolation renforcée faiblement émissifs équipent plus des deux tiers des maisons individuelles.

Ce type de vitrage s'est généralisé quelle que soit l'énergie de chauffage utilisée. Avec, cependant, une assez faible pénétration des menuiseries aluminium avec rupture de pont thermique. On retrouve généralement ce type de menuiseries dans les vérandas ou les porte-fenêtres coulissantes en séjour, utilisées uniquement avec du vitrage à isolation renforcée (VIR) faiblement émissif avec ou sans gaz argon. Ce type de menuiseries demeure d'un coût supérieur à celles en PVC, qui prennent place dans la plupart des baies vitrées. Ces dernières sont de plus en plus dotées de glaces claires, ce qui les rend encore plus compétitives en termes de coût. Pour le bois, en seconde position sur le marché des baies vitrées, c'est le VIR avec gaz argon qui représente la technique majoritaire. Les industriels ont beaucoup travaillé sur la qualité de leurs produits en conservant des coûts raisonnables, par exemple avec l'argon dans les doubles vitrages. Leur démarche a été couronnée de succès. Il faut ensuite dépasser l'effort produit et s'attaquer à la structure, par exemple, les ponts thermiques (nez de planchers et refends). C'est plus difficile, parce que l'on remet en cause les habitudes des constructeurs de maisons individuelles.

 

 

Faut-il absolument mettre du double vitrage ?

Bonnes adresses

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